Le
traitement bien dosé de
la
maladie andropause par les
androgènes stabilise la prostate
Le traitement à la testostérone chez les
hommes hypogonadiques n'augmente pas le risque
de cancer de la prostate
La privation
d'androgènes dans le cancer de la prostate est
associée à un risque important de maladie
d'Alzheimer .pdf download
Androgen
deprivation therapy (ADT) has been a mainstay of
treatment of prostate cancer since the 1940s.
Although its use has historically been limited
to metastatic disease, randomized
evidence supports the use of ADT
in combination with external-beam
radiation therapy for locoregional disease with
high-risk features. Overall the use of ADT has
increased dramatically over recent decades,
with an estimated 500,000 men currently
receiving ADT for prostate cancer in the United
States.
The side effects of this suppression of
androgens may be significant:
Androgen Deprivation Therapy and Future
Alzheimer’s Disease Risk.pdf
Certains
médecins et même certains "cancérologues"
sont très contents de réduire le PSA vers
zéro au moyen de drogues (décapeptyl par
exemple) qui empêchenent la production
d'androgènes. C'était un traitement" utilisé
il y a plusieurs dizaines d'années. Ils
démontrent ainsi comment provoquer de façon
certaine une maladie d'Alzheimer chez leurs
patients. Leur responsabilité est engagée.
En effet aujourd'hui le traitement du cancer
de la prostate relève de l'immunologie.
Le
risque de provoquer une démence ou une
maladie d'Alzheimer est plus élevé chez lez
patients "traités par des antiandrogènes"
est confirmé par une méta analyse publiée en
2021
(pdf).
PSA et Cancer de la prostate
(erreurs à éviter)
Depuis son apparition sur le marché
le test de l'antigène spécifique de la prostate (PSA) a été utilisé comme
"marqueur spécifique du cancer de la prostate" alors
qu'il s'agit d'un marqueur d'activité générale des
glandes prostatiques qui peuvent être
actives pour d'autres
raisons ( infection - adénome)
Le PSA a ensuite été utilisé
pour suivre les réponses
aux différentes traitements.
Depuis le début du XXe siècle la
mortalité globale du cancer de la prostate n'a pas été modifiée
significativement quel que soit le traitement proposé.
Aux USA certains assureurs ne remboursent plus la détection du taux de PSA comme
diagnostic préventif du cancer de la prostate. pdf.
Les médecins, en général, ont mis des
dizaines d'années avant de se rendre compte que le PSA ne permet pas de
distinguer un cancer de la prostate agressif d'un cancer de la prostate bien
toléré ce qui a conduit à des diagnostics abusifs et aux traitements inutilement
agressifs.
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Erreur 1:
Le marqueur PSA que l'on retrouve dans le sang
n'est pas spécifique du cancer de la prostate.
C'est un marquer d'activité dont le taux dans le sang varie entre 1 et 4
nanogrammes par millilitre. Une simple infection des de la prostate peut
provoquer l'élévation du PSA.
L'adénome de la prostate peut également régresser (volume de la prostate et PSA) sous hormonothérapie mâle bien dosée.L'adénome
de la prostate
Erreur 2 :
Croire que la testostérone provoque la
transformation cancéreuse des cellules prostatiques en confondant l'action de
cette hormone mâle sur différents "états" des cellules prostatiques :
Il existe 10 stades de transformation de la cellule
prostatique, de la plus bénigne à la plus maligne. Ces transformations sont
connues sous le nom de
"stades de Gleason" :
Les 5
premiers stades correspondent à des
transformations qui peuvent régresser (vers
la normale) sous l'influence des hormones
mâles
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Les stades agressifs peuvent être stimulés par les
hormones mâles.
Les premiers stades de la transformation peuvent
correspondre à une élévation du PSA dont le taux peut régresser sous l'influence des hormones mâles bien dosées.
Si le taux de PSA s'élève sous hormones androgènes,
cela signifie que le traitement n'est pas approprié.
Erreur 3 :
Méconnaitre l'équilibre
biologique in vivo entre la testostérone et la dihydrotestostérone
Erreur 4 fatale :
Ne pas tenir compte : des 3 premières erreurs